Thursday, December 20, 2018


 
 
 
Je souhaite mes sincères condoléances à la Famille Stéphane Mibemu Guibinga , Le Décès de son Grand Frère Joël Bavingoula Ancien Élève du Collège Raponda Walker , Ex Sociétaire des Années 80/84 de L'As Sogara coéquipier de La jeunesse de Raymond Nzamba Tsouka , Feu George Igalo , Roghewa , Nang Edgard cette Génération fût une Année du progrès du Football de la jeunesse de L'As Sogara . Tu reste dans nos coeurs Joël ton sourire et ta gentillesse ta Famille et tes Amis ( e) ne pourront jamais t'oublié, Je me rappelle de tes matchs au Stade de la Mosquée avec Sogara ton Pied Gauche et ta vitesse reste pour nous des supers moments .dans cette photos le deuxième après le Gardien paix à toi mon Attaquant de pointe tes débordements et ta vitesse j'ai jamais oublier Champions .








Souvenirs , Odzamboga Hamed Larabe Ayouba & Guy Roger Nzamba 2 Joueurs que vous avez connus à port gentil . Feu Alex Nguema N9 International Gabonais Debout le 4 ème à partir de la Gauche ( Petro sport , Fc 105 ) il reste l'un des meilleurs Avant centre de sa génération la même vitesse de inzanghi , le Deuxième Mr Ndzabane Alias Épaté l'Amour Joueur de Shell sport de Ben Kofi Premier rang en bas a partir de la droite

Équipe minime du Stade Gabonais


Souvenir de jeunesse, stade Révérend Père Lefebvre 1973. Équipe minime du Stade Gabonais. De gauche à droite Sounda César, Makaya Jean Baptiste, Badin, Adrien Ivanga, Didi, ?, feu Guy Loubaki, ? Accroupis: Gérard Messani, feu Moyali Christian, ?, Bonaventure, Bakissi.

Crédit photos : Adyayeno Ivanga Paul Adrien

Sunday, September 2, 2018

Saturday, September 1, 2018

Vicky FOURNIER : La voix de Radio Gabon


Entre 1960 et 1986 -quelle carrière !- Vicky FOURNIER aura été de toutes les aventures radiophoniques. Une voix, un esprit, une histoire...

La voix de Radio Gabon

Il serait incongru de lui demander sa date de naissance. Tout juste peut-on rappeler que Vicky FOURNIER est née à la pointe Denis, d'une mère myenné et d'un père brésilien. De ses origines, elle gardera une grande fierté. L'histoire dit qu'elle descend, par sa maman, du roi Denis Rapontchombo et de Re Ndama. Royales attaches et élégance naturelle qui frappaient dès la première rencontre.
Vicky FOURNIER: l'enfance.
On ne possède que très peu d'éléments sur ses années d'enfance. Vicky FOURNIER suit ses études chez les soeurs de la mission catholique Saint Pierre, elle se passionne pour la lecture et obtient en 1941 son Certificat d'études primaires et élémentaires. On sait également que Vicky FOURNIER suit alors sa mère au Cameroun et qu'elle travaille comme vendeuse dans un magasin de luxe, à Douala.
Vicky FOURNIER: devant le micro
C'est à cette même époque que la jeune femme fait un séjour en France. De retour par voie maritime, Vicky FOURNIER fait la rencontre de Jean-Félix Lassy, lequel est surpris par l'élégance du personnage... et son élocution parfaite. Jean-Félix Lassy aurait alors proposé à Léon Mba, alors maire de Libreville, de l'intégrer à l'équipe de Radio Gabon. Vicky FOURNIER trouve la proposition flatteuse, mais elle refuse. Il faudra que la commune de Libreville vienne voir sa mère, pour que cette dernière puisse enfin la convaincre. Nous sommes le 2 février 1960, et Vicky FOURNIER intègre l'équipe radiophonique. Premières interventions, elle donne des communiqués et informe des bulletins météorologiques.
Sur les conseils de Georges Rawiri et d' Agathe Okoumba d' Okwatségué, la jeune animatrice suit une formation en France, à l'Office de coopération radiophonique (Ocora), avant de revenir au Gabon et de retrouver les ondes. Cette même année 1961, Vicky FOURNIER crée son premier magazine radio, "Le magazine de la femme". Suivront d'autres émissions comme « J’ai glané pour vous », « Evocation du temps passé », « Vous qui voulez savoir », « Faites votre marché », « Mwana magazine »... Vicky FOURNIER cultive ici des thèmes en phase avec le quotidien, souvent sociaux. Elle aborde la condition de la femme, l'éducation des enfants ou encore les questions de culture.
Précisément l'angle où " Tante VICKY" connaît ses plus grands succès. L'émission, « Elombé sika » (De la discussion jaillit la lumière), en langues locales, fait un vrai tabac. Une période où Vicky FOURNIER ne se limite pas à la radio. En 1969 déjà, elle avait joué dans "Carrefour humain". On la retrouve ensuite sur d'autres plateaux de cinéma, à l'image d' Ayouma (1977), réalisé par Pierre-Marie Dong (sur un scénario de Joséphine Bongo).
Vicky FOURNIER : sur Africa N°1
En 1983, après 22 ans passés à Radio Gabon, Vicky FOURNIER rejoint Africa N°1, la radio panafricaine, comme inspecteur de production. Elle crée alors plusieurs émissions. Parmi celles-ci, "Vous qui voulez savoir ", "Points de vue" et "De tout un peu". C'est là qu'elle prendra sa retraite en 1986. Sans regret, certes, mais avec le sentiment qu'elle avait encore des choses à dire: " Parce que j'ai toujours des idées à faire passer, parce que j'aime parler pour partager."

La royauté au Gabon



Quelques chefs gabonais acquirent ainsi une certaine notoriété jusqu’au-delà de leurs tribus respectives, tels les divers « rois » de l’Estuaire du Gabon qui traitèrent avec les autorités de la Marine, aux débuts de la colonisation française.
le roi Denis Rapontchombo, du clan des Assiga, dont la renommée s’étendait jusqu’au Cap Lopez et au Fernan-Vaz, en passant par le Bas-Ogowè, le roi Louis Dowé et le prince Glass, du clan des Aguékaza, le roi Georges Rassoundji chez les Agulamba.
Au Fernan-Vaz, le Ré-Ngondo, chef du clan des Avogo (de son vrai nom Ré-Ntcholo, « l’enclume »), décédé une vingtaine d’années avant l’arrivée de l’explorateur du Chaillu dans ce pays, avait fait de la plaine Anyambiè, vers le Cap Sainte-Catherine, le point central de la tribu des Nkomi. Ceux-ci se dispersèrent après sa mort.
Dans la région du Rèmbo-Nkomi, au village de Ngumbi, Nkombé-Nguengueza, du clan des Aboulia, avait le monopole du commerce de cette riche région. Il favorisa du Chaillu et l’aida à pénétrer chez les Rakèlè et les Eshira, en direction de la Ngouniè (1858). Il y avait aussi Mayenge Numbu il regna sur tout le sud ouest pays (1860)
Chez les Galwa, le chef le plus connu fut le roi Nkombé, du clan des Anouva, surnommé le « roi-soleil » par les explorateurs Marche et Compiègne, par allusion à son nom indigène. Chez lui au grand village d’Ado1inanongo, s’installèrent les premières factoreries europée11!les de l’Ogowè. Il mourut empoisonné en 1873.
Chez les Enenga, voisins des Galoa, on cite à la même époque Ranoké, du clan des Azondo, le roi aveugle, Rempolè du clan des Adyéna, qui fournirent des équipes de piroguiers à Savor- gnan de Brazza et à ses devanciers pour leurs expéditions dans l’Okanda (Haut-Ogowè).
Au Cap Lopez, chez les onmgu, il faut signaler tout d’abord le fameux Rogombè, du village Ozullguè, clan des Aziza, universellement connu pour son humeur batailleuse. Son souvenir subsiste encore aujourd’hui dans l’expression « nguwa ya Rogombè » la grande guerre de Rogombè, pour désigner l’époque troublée où il régna. Après lui, les chefs Ombango, dit Ikinda ou le roi Pascal, et Ragnognuna, du clan des Aguendjé, du village Ossèngatanga, eurent aussi leur moment ‘le célébrité chez les Orungu. Du Chaillu fut l’hôte de Pascal en 1856.
Vers la même époque, dans la rivière Monda, vivaient deux grands chefs de la tribu des Béseki ou Assékiani, les rois Kienlinwin et Boulabène. Un troisième, non moins célèbre, Abouloué- Mpeka, du village Mèdèkèlo, draina longtemps vers la côte tout le commerce de l’arrière pays.
Au sud, vers la Ngouniè, on cite les chefs Bakèlè Ndimba, la terreur des Bavili, des Ivea et des Mitsogo, finalement vaincu au village Mubu, à une heure de marche des chutes Samba et tué d’un coup de fusil, en 1898 Nkualibandja, du clan Sassènghé, installé sur une hauteur au confluent de l’Ikoï pour arrêter au passage et piller les pirogues des maisons de commerce. et le féroce Mangondé-Makoulé, issu de mère nzabi, devenu grand trafiquant et chef puissant du village Ndamba, dans le Haut-Ikoï.
Chez les Bavili de Sindara, on se rappelle les grands chefs d’autrefois Dabubala, du clan Muva, et Mbongo-ma-Kdjembo, qui mit fin aux incursions des Bakè1è par sa victoire sur Ndimba.
Chez les Eshira, le vieux Mulenda hébergea chez lui l’explorateur du Chaillu, vers le milieu du siècle dernier. Plus tard, il y eut: Ntsigu-Bibalu, du clan Budyègui, dans le Bas-Doubiguiet (région du Fougamou) et surtout Ngossi-Guitso1a, du clan Pugura, qui donna son nom aux Eshira des plaines ou Eshira-Ngossi, pour les distinguer des Eshira-Kamba et des Eshira-Tandu.
A noter de même, dans le Haut-Ogowè, région de Franceville, chez les Mindumu, Nguimi, chef du village Minaï, du clan des Assikuya, qui aurait traité avec Mr de Brazza. lors de sa première exploration en 1875.
Parmi les chefs qui eurent maille à partir avec les autorités françaises, vers le début de ce siècle, il convient de retenir le nom d’Emane-Tole, du clan Ebèghe-Mengolle, chez les Fang, qui essaya de soulever la région de Ndjolé et fut déporté à Brazzaville, et celui de Mbombi, grand sorcier et « agitateur)) du pays mitsogo qui terrorisa pendant longtemps les environs de Mouila.
Chez les Fangs du Nord, il y eut Eyi Nkoa, le chef du village Obout qui chassa les colons à la fin des années 1890.
Parfois aussi, à la tête d’un clan ou d’un village, il s’est trouvé une cheffesse, une femme exerçant l’autorité. C’est ainsi qu’à la fondation de la Mission de N.-D. des Trois-Epis à Sindara, le Supérieur eut à traiter avec la cheffesse Makovè, du clan Mouva, pour l’acquisition d’un terrain au lieu-dit Duanimèna, en 1899.
Dans la région de l’Ofoubou, en pays eshira, il y eut longtemps une cheffesse remarquable, du nom de Kumba-Mungueka, du clan Mussanda, décédée en 1936.
Au pays des Banzabi est morte le 10 octobre 1937 la vieille Kengué, surnommée Bipuma (les nuages), autrement dite la « cheffesse au képi », du village Ndèndè, clan Bassomba ou Barouli. On l’a caricaturée sous le nom de Bipotim-Bipoum. N’empêche que c’était une maîtresse femme qui savait mener ses gens et a rendu bien des services aux Européens de passage, en les ravitaillant.
Deux années auparavant (1935) décédait à Iguèla, chez les Ngowè, la grande cheffesse Mburti-Akosso, du clan Mandi, chez laquelle se traitaient toutes les affaires importantes de la tribu.
Aux environs de Libreville, on cite la reine Massa, morte en 1891, mère de 7 enfants, et chefesse incontestée de la pointe Ovèndo et de l’île Dambè ou Coniquet.
A ces noms nous ajouterons celui de la célèbre cheffesse galoa, Ivendo qui, d’après la tradition, aurait mené au combat tous les guerriers de son clan coutre ceux d’une tribu ou d’une famille voisine qui avaient attaqué leur village.
En 1886, les Enenga avaient à leur tête un « roi » et deux « reines ». Ces deux reines, Evindo et Mbumba, avaient la même autorité que le roi Ranoké. Chose curieuse, Evindo, Mbumba et Ranoké étaient aveugles.
Enfin, pour clore la liste des femmes gahonaises de grand renom, nous signalerons la famense Mbataganga, dont le nom signifie « siège ou trône magique ». Elle gouverna longtemps le clan des Awandji tant sur le littoral où elle vécut d’abord que dans le Ntchonga-Ntchinè, au fond de la lagune du Fernan-Vaz où elle se retira plus tard avec tous ses gens, à la suite des démêlés qu’elle eut avec d’autres chefs orungu. Jamais femme ne fut si puissante, ni si sage que Mbataganga, proclame un dicton du pays : Omwanto e’re penda, tomberepa Mbataganga.

Tuesday, August 28, 2018

Photo Blaise paraiso


Photo dE Blaise Paraiso


Photo de Blaise Paraiso


Un accident de voiture dans les années 30

Photo Blaise Paraiso

Ntchoréré et sa famille

Un héros gabonais le capitaine Charles Ntchoréré au milieu des siens , photographié par Blaise Paraiso, entre 1937 et 1939, lors de son séjour prolongé au Gabon suite à ses blessures récoltées au combat. Né en 1896, engagé dès la Première guerre mondiale, Charles Ntchoréré choisit la carrière militaire, gravit rapidement les échelons et son héroïsme lors des guerres du Rif (Maroc) et du Djebel Druze (Syrie) lui valurent la batterie de décorations qu’on remarque sur son uniforme. Il se porte volontaire à la tête d’un groupe de Gabonais dès la déclaration de guerre et sera fusillé par la Wehrmacht le 7 juin 1940 dans la Somme où existe un monument commémoratif. Une semaine plus tard son fils Jean - Baptiste, âgé de moins de 20 ans, tombera également en France.

Blaise Paraiso

Blaise Paraiso : sa longue silhouette, discrète et élégante, toujours armée d’un appareil photo, fut si longtemps de tous les événeme nts majeurs ou mineurs du Gabon que tout le monde connaissait à Libreville cet homme d’une courtoisie et d’une gentillesse extrêmes. Même si, en tant que photographe, il est peu présent sur les documents de cette longue période, au point que la génération actuelle, quand elle étudie l’h istoire du Gabon, ignore son visage, et trop souvent son nom. Ses œuvres sont fréquemment reproduites sans le citer, même par ceux qui le connaissent... Il fait partie des pionniers africains de la photographie et à ce titre mérite d’être re connu comme tel. Blaise Paraiso est né au Bénin (Dahomey) en 1900. Il disait être arrivé au Gabon en 1917. Ce comptable de formation commence par exer cer son métier mais, passionné par la photographie à une époque où la pratique de celle - ci était très complexe, surtout dan s les colonies (matériel, fournitures et conservation des clichés sous des climats ravageurs), il occupe tous ses loisirs à fixer sur la pellicule le monde qui l’entoure. Tous les sujets l’intéressent et son talent ne tarde pas à être remarqué. Si bien, qu ’en 1925 il abandonne la comptabilité pour se consacrer totalement à son hobby et en faire son métier ; il crée son premier studio en planches au quartier Nombakélé, où il demeurera désormais presque toute sa vie. Blaise Paraiso n’est pas le premier photographe africain au Gabon. Dès la fin du XIX e siècle, Francis W Joaque, originaire du Sénégal, est installé comme photographe professionnel au Gabon et fera des clichés pour la mission Savorgnan de Brazza de 1880. On trouve aussi au début du XX e siè cle Khalilou, qui travaille pour un commerçant Ndemba N’Diaye ; ses cartes postales de danseuses sont somptueuses. Dès 1910 , les Gabonais comme Toussaint Madola et Ntchougwa Artman sont des pionniers de ce nouvel art photographique 1 . L’œuvre de Blaise Pa raiso couvre une période qui s’étend des années 20 au milieu des années 60. Installé au Gabon, il va également faire durant la période coloniale des photos dans d’autres pays : outre son Bénin natal, le Congo Kinshasa (Congo - Belge à l’époque) et le Congo Brazzaville. Cet homme va couvrir une très longue période productive et connaître trois révolutions de la photographie : la plaque de verre et la chambre noire, le reflex 6x6, puis le 24x36. Il conserve toujours soit la plaque de verre, soit la pellicul e, soit un tirage de tout ce qu’il fait et les milliers de clichés s’amoncellent. Les clients se multiplient, il devient le photographe officiel de l’administration coloniale qui l’utilise pour immortaliser les cérémonies officielles. Mais tous, officiels et simples citoyens, européens et africains, font appel à lui pour toutes les circonstances : de la photo d’identité au réveillon, à la communion des enfants, au portrait familial endimanché, il inaugure le photo reportage au Gabon

Un avion FFL

Durant la seconde guerre mondiale, au Gabon les partisans de Vichy et les gaullistes s’affrontèrent. Après l’appel du 18 juin du général de Gaulle, à l’instigation du Gouverneur du Tchad Félix Éboué, les colonies du Cameroun et de l’A.E.F. se rallièrent rapidement, sauf le Gabon qui ne le fut qu’après une intervention des troupes des Forces Françaises Libres (FFL), qui ne voulaient pas risquer que cette colonie serve de base arrière à Vichy. Le combat fit cinquante morts. Un avion des FFL armé de mitrailleuses vient de s e poser au camp d’aviation d’Owendo , créé spécialement pour eux (l’aéroport de Libreville ayant été bombardé par les FFL pour détruire les quatre bombardiers vichystes qui s’y trouvaient). On remarque sur la photo la croix de Lorraine sur le flanc de l’avion et les mitrailleuses, bien qu’il s’agisse plutôt d’un appareil de reconnaissance

Saturday, August 25, 2018

Friday, August 24, 2018

Saturday, August 4, 2018

Reportage retraçant l'histoire du Gabon depuis sa découverte au 15ème siècle par les explorateurs portugais. Cette rétrospective est composée d'images d'archives, photos, gravures, et cartes géographiques, qui se décline en plusieurs séquences : - Document d'archives datant de 1961, en noir et blanc, un maître d'école au tableau noir explique à ses élèves que l'absence de mémoire vient de l'absence d'écriture.- La découverte du pays, au 15ème siècle, par le portugais Diogo CAM.- La traite des esclaves qui se généralisa au 18ème siècle ; - Le début de la colonisation française par le capitaine de vaisseau BOUET WILLAUMEZ.- La fondation de Libreville qui recueillait les esclaves libérés.- Photo de Pierre SAVORGNAN de BRAZZA, créateur de la colonie en 1876. - Le docteur Albert SCHWEITZER aux cotés d'enfants, au Gabon. - Dès 1910, le Gabon devient un des territoires français regroupés sous le nom d'AEF (Afrique équatoriale française). Le pays est dirigé par un gouverneur général français, résidant à Libreville : images d'un défilé de ce gouverneur- Le général De GAULLE passe en revue les troupes lors de la Seconde guerre mondiale- La Conférence de Brazzaville en février 1944.- Le général De GAULLE et Léon M'BA lors de l'indépendance, le 17 août 1960. Émission Géopolis Production Producteur ou co-producteur France 2 Générique Réalisateur Henri Legoy Journaliste Gaelle Ravalec PLUS DE CONTENUS SUR Economie et société Environnement et urbanisme Vie économique Histoire et conflits Décolonisation Politique Présidents et chefs d'états Bongo Omar

Vidéo Ina Libreville fête un an d'indépendance gabonaise, vidéo Li...

Le gabon d'autrefois


Sujet sur Gabon avant le voyage que doit faire Valéry GISCARD D'ESTAING : Bruno ALBIN présente les potentialités industrielles que recèle pays à côté de la traditionnelle exportation du bois d'okoumé

Le pétrole du Gabon

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Wednesday, May 2, 2018

Libreville


Rhumba 70-80



L'époque dans la chanson il y' avait un message mais la musique d'aujourd'hui aucun sens, aucun message de n'importe quoi à l'époque il y' avait des orchestres comme AKWEZA, LES MASSAKO, LES DIABLOTINS hoooo mame le temps passe vite oooooooo AKWEZA etait l'orchestre de la gendarmerie, MASSAKO était l'orchestre de l'ARMEEde terre et les DIABLOTINS l'orchestre de la police il y'avait la concurrence et de la bonne mélodie